A la maison, il y a toujours une bonne raison d'écouter de la musique avec les enfants : Jouer, dessiner, faire le ménage, ranger…
Et à chaque fois, on en revient à écouter le chanteur Aldebert, notamment sa nouvelle chanson “Paparfait”.
Cette chanson me défini incroyablement bien en tant que papa. A croire qu'Aldebert s'est servi de moi pour l'écrire (tellement qu'à la première écoute, j'ai été très très ému).
Bref :)
De fait, je me dois de vous parler de la pression que je me mets tout seul pour être un “bon” papa…
Oui j'essaie d'être un bon papa. Être présent et disponible, donner un cadre, de l'ordre, du sens. Créer des souvenirs. Rigoler, faire des blagues.
Voilà une quête bien personnelle, toute subjective, tant le terme “bon” peut revêtir différentes significations.
Par ailleurs, ladite quête de perfection ne s'arrête pas puisqu'elle touche l'entrepreneur que je suis et que je deviens.
Irréprochable ? C'est illusoire et infini. Peut-être pour échapper au syndrome de l'imposteur que je m'impose ?
Ainsi j'en viens à me demander : Est ce que le coach (en terme de posture, de rôle, de place) doit être parfait ? Dans le sens solide comme un roc, inébranlable ?
Est ce que chercher à se montrer sans défaut a un sens ?
Je dirais que non. De même qu'un papa ne peut pas être parfait. Idem pour un entrepreneur.
Et puis… Parfait par rapport à quoi ? à qui ? Dans quel contexte ?
Parce que le coach est d'abord humain avant coach. Il est composé d'une histoire et d'émotions. Il a ses failles, ses défauts..
Est-il moins bon pour autant ?
Non.
Le coach vient avec ses bagages, son histoire, ses émotions. Ce qui fait qu'il est bon (selon moi) est sa capacité d'empathie, sa capacité à se projeter dans un autre univers, à prendre du recul, proposer un autre regard, proposer des idées, des solutions.
Bref, pour résumer, un bon coach, selon moi toujours, est capable de puiser en lui les ressources pour offrir une autre réalité sortie de son imagination.
C'est en tout cas comme cela que je fonctionne et c'est ce qui me procure le plus de bonheur.
Donc non, je ne suis pas parfait, “paparfait”. Personne ne l'est.
A chacun sa réalité, sa vérité, pas de syndrome de l'imposteur.
Où en êtes vous dans la quête de perfection ? D'idéal ?
Et si c'était dans votre imperfection que vous vous arriviez à créer votre personnage, votre marque ?
Et si on commençait par être imparfaits pour devenir remarquables ?
On en discute ?
—————————————
Allons plus loin :
>> Diagnostic gratuit : Séance Découverte avec Nicolas
>> Recevoir le shoot d'inspiration de Nicolas par mail
>> Pépite #1 : Coaching 1 to 1 (complet sur votre projet)
>> Pépite #2 : Mini coaching de 2 heures (Analysons votre projet sur deux heures - Sans engagement)
>> Ressources pédagogiques et formations en ligne pour construire votre projet